Communiqué de presse
23/10/2025

Un rêve devenu réalité : comment le châssis 5.0 à façonné la légende Veyron

Un rêve devenu réalité : comment le châssis 5.0 à façonné la légende Veyron

Un véhicule capable d’une performance extrême sur circuit le jour et d’offrir tout le confort pour conduire ses propriétaires à l’opéra le soir même. Une nouvelle catégorie inédite : l’hypersportive, capable de développer plus de 1 000 PS et de repousser les limites du design et de l’ingénierie automobile. Tel était le rêve du Prof. Dr. Ferdinand Karl Piëch, un ingénieur visionnaire déterminé à redéfinir les possibles en termes d’automobile.

Châssis 5.0 : l’un des véhicules de pré-série de la Veyron, à l’origine d’une légende.
Conçu pour un programme rigoureux de tests et d’homologation – perfectionné encore et encore pour rendre l’impossible possible.
Une apparition marquante lors de l’inauguration de l’Atelier à Molsheim.
En prestigieuse compagnie – le châssis 5.0 présenté aux côtés de deux autres véhicules de pré-série lors de l'inauguration officielle de l'Atelier.
Un quatuor de Veyron domine le mythique circuit de la Targa Florio et l’Autodromo di Pergusa lors de l’événement presse en Sicile.
2007 : Richard Hammond affronte un chasseur Eurofighter Typhoon dans une course devenue légendaire.
Éternellement beau – le châssis 5.0 revient dans son berceau historique à Molsheim.
Son intérieur Grenadine d’origine n’a jamais changé – un hommage au savoir-faire intemporel de Bugatti.
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Beaucoup jugeaient impossible de concevoir un véhicule à la hauteur de la vision du Prof. Dr. Piëch – les lois de la mécanique et de la physique semblaient s’opposer à l’idée même d'un véhicule capable d’exceller dans tant de domaines à la fois. Après des années de conceptualisation et d’affinements menés par les ingénieurs les plus talentueux au monde, c’est avec la dernière série de pré-production de la Veyron, la Série 5, que cette vision est devenue envisageable.

Lorsque les pneus, réalisés sur mesure pour le châssis 5.0, ont touché l’asphalte pour la première fois au début de l’année 2005, les esprits brillants derrière la création de cette toute première hypersportive ont assisté à un moment emblématique, marquant l’histoire de Bugatti.

Le véhicule est doté de dix radiateurs pour un refroidissement optimal ; d’une boîte de vitesses DSG à double embrayage et sept rapports – développée par l’ancien Directeur Technique Dr. Wolfgang Schreiber – conçue pour maîtriser la puissance brute de l’accélérateur ; et, au cœur de sa mécanique, d’un moteur W16 quadri-turbo de 16,4 litres, imaginé par l’ex-Responsable du Développement des Groupes Motopropulseurs, Gregor Gries, et le regretté Président Dr. Karl-Heinz Neumann. Ce moteur a propulsé la Veyron dans la légende automobile. Chaque technologie avait été méticuleusement testée pendant des années et sur des centaines de milliers de kilomètres, au fil de différentes séries de prototypes. Ces innovations se sont retrouvées réunies dans un modèle qui a donné vie à la vision du Prof. Dr. Piëch, prêt à franchir les dernières étapes décisives pour devenir l’hypersportive qui pulvériserait tous les records et réécrirait toutes les lois de l’automobile.

« Je me souviens de chaque détail de la première fois où j’ai testé le châssis 5.0 en 2005 – la toute première Veyron que j’ai eu la chance de conduire sur route. Lorsque j’ai pris place derrière le volant, la vision du Prof. Dr. Piëch m’est apparue d’une clarté absolue : ce qui n’était alors qu’un rêve, né d’un esprit visionnaire passionné, devenait tangible. Même si le design n’était pas encore finalisé, le son et la puissance du W16 étaient bruts, déchaînés… et profondément bouleversants. Une preuve pure et touchante de ce que nous avions réalisé ensemble. À cet instant, une évidence s’est imposée : oui, un rêve peut devenir réalité. »

Christophe Piochon

Aujourd’hui Président de Bugatti Automobiles et alors Responsable Qualité

Les six derniers véhicules de pré-série ont été soumis à un programme rigoureux de tests et d’homologation, répété et affiné sans relâche pour rendre l’impossible possible.

Le châssis 5.0 a donc été au cœur de la transition entre la phase de prototypage avancé et le véhicule de série final, prêt à conquérir le monde. Il est ainsi devenu le banc d’essai ultime pour les ingénieurs de Bugatti, qui y ont peaufiné les systèmes critiques afin de libérer tout le potentiel de la Veyron. Grâce aux données et aux enseignements tirés des tests intensifs de ses prédécesseurs, les techniciens ont installé des plaques en titane à l’arrière des disques de frein – une innovation clé pour atteindre la température de fonctionnement optimale et maximiser les performances.

Mais l’importance du véhicule pré-série dépassait le simple objectif de perfectionner la Veyron : il a également joué un rôle majeur dans l’amélioration des processus d’assemblage. De la validation des outils à l’évaluation de la qualité des surfaces en aluminium, en fibre de carbone ou peintes, le châssis 5.0 a aidé les techniciens Bugatti à développer des méthodes de travail qui deviendraient la référence en matière d’excellence automobile, jusqu’à la production de la Chiron, illustre héritière de la Veyron.

Le châssis 5.0 était ainsi le reflet fascinant d’un programme de développement en constante évolution. En célébrant l’art de l’imperfection, ce véhicule a acquis un charme unique, tissant les innombrables fils de son évolution en un récit sans équivalent dans l’histoire automobile – posant les bases de nouveaux exploits à venir.

Alors que le châssis 5.0 évoluait, passant du stade de pré-série à celui de véhicule prêt pour une production en série, sa mission et son aura se sont également transformées. Après avoir marqué l’histoire de Bugatti, ce véhicule légendaire est devenu l’ambassadeur d’un rêve automobile impossible : celui de l’ère des hypersportives, entièrement redéfinie par la Veyron.

Après son apparition marquante lors de l’inauguration de l’Atelier de Molsheim, le châssis 5.0 a entamé une nouvelle mission : révéler au monde la vision de la marque en matière de performance absolue ; des premiers essais routiers en Sicile jusqu’à des apparitions télévisées, dans des émissions culte comme Top Gear sur la BBC. Son aura et ses capacités étaient si impressionnantes qu’elles ont même subjugué des pilotes professionnels aguerris, comme le vétéran des 24 Heures du Mans, Pierre-Henri Raphanel. Ce dernier a accepté l’honneur proposé par Bugatti de devenir le premier Pilote Officiel de la marque, un rôle qui l’a mené à présenter le châssis 5.0 lors de démonstrations et essais à travers le monde.

Au retour de sa tournée mondiale, sa couleur d’origine a été modifiée avant que la Veyron 5.0 ne rejoigne temporairement un client. Après avoir offert des sensations uniques et un plaisir de conduite sans égal sur les routes, le châssis 5.0 a finalement rejoint son berceau historique, à Molsheim, où il a été restauré dans sa livrée actuelle, noire et métallisée. Il y trône désormais comme un symbole évocateur de la fusion inégalée entre héritage, passion et performance – des valeurs qui ont forgé sa création. Aujourd’hui encore, cette icône continue d’inspirer les designers, les clients et, in fine, les hypersportives modernes de Bugatti.

« Tout rêve commence par une étincelle d’inspiration. En devenant réalité, il donne naissance à un océan de possibilités. Tel est le parcours du châssis 5.0, qui a contribué à façonner la Veyron 16.4, celle qui a réécrit les règles de l’automobile. Ce châssis a concrétisé l’aboutissement d’incalculables années et d’innombrables heures à rêver l’impossible, puis à innover jusqu’à ce que le rêve se concrétise enfin. Un chef-d’œuvre d’ingénierie qui a redéfini les mots « performance », « élégance » et « rareté ». C’est un véritable privilège d’avoir supervisé son développement. Alors que nous célébrons les 20 ans de son lancement, nous continuons encore aujourd’hui d’honorer la passion de nos équipes et des enthousiastes du monde entier pour cet exploit. »

Christophe Piochon

Président de Bugatti Automobiles

Contact pour la presse

Nicole AugerHead of Marketing and Communicationsnicole.auger@bugatti.com

Consommation de carburant et émissions

  • Bolide: Non soumis à la directive 1999/94/CE, car il s'agit d'un véhicule de course non conçu pour être utilisé sur la voie publique.

  • Centodieci: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,3 / moyenne 22,2 / élevée 17,9 / particulièrement élevée 17,1 / combinée 21,5 ; Émissions de CO2 combinées, g/km : non applicable ; classe d’efficacité énergétique : G

  • Chiron: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,6 / moyenne 24,8 / élevée 21,3 / particulièrement élevée 21,6 / combinée 25,2 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 572 ; classe d’efficacité énergétique : G

  • Chiron Profilée: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,5 / moyenne 24,8 / élevée 21,3 / particulièrement élevée 21,6 / combinée 25,2 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 572 ; classe d’efficacité énergétique : G

    • Chiron Pur Sport: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,6 / moyenne 24,8 / élevée 21,3 / particulièrement élevée 21,6 / combinée 25,2 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 572 ; classe d’efficacité énergétique : G

    • Chiron Sport: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,6 / moyenne 24,8 / élevée 21,3 / particulièrement élevée 21,6 / combinée 25,2 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 572 ; classe d’efficacité énergétique : G

    • Chiron Super Sport: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,3 / moyenne 22,2 / élevée 17,9 / particulièrement élevée 17,1 / combinée 21,5 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 487 ; classe d’efficacité énergétique : G

    • Chiron Super Sport 300+: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,3 / moyenne 22,2 / élevée 17,9 / particulièrement élevée 17,1 / combinée 21,5 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 487 ; classe d’efficacité énergétique : G

    • Divo: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 43,3 / moyenne 22,2 / élevée 18,0 / particulièrement élevée 18,3 / combinée 22,3 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 506 ; classe d’efficacité énergétique : G

    • La Voiture Noire: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 43,3 / moyenne 22,2 / élevée 18,0 / particulièrement élevée 18,3 / combinée 22,3 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 506 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Tourbillon: Ce modèle n'est actuellement pas soumis à la directive 1999/94/CE. La voiture n’a pas encore été réceptionnée à ce jour.

      • W16 Mistral: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,7 / moyenne 21,9 / élevée 18,3 / particulièrement élevée 17,6 / combinée 21,8 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 495 ; classe d’efficacité énergétique : G

      Bugatti

      Les valeurs de consommation de carburant et d’émissions de CO2 présentes sur ce site internet sont déterminés suivant la méthode de mesure légale obligatoire.

      De plus amples informations sur les chiffres officiels de la consommation de carburant et les émissions spécifiques de CO2 officielles des voitures de tourisme neuves figurent dans le « Guide sur l'économie de carburant, les émissions de CO2 et la consommation d'énergie des nouveaux modèles de voiture de tourisme » qui est disponible gratuitement chez tous les distributeurs et auprès de DAT Deutsche Automobil Treuhand GmbH, Hellmuth-Hirth-Str. 1, D-73760 Ostfildern, Allemagne et sur www.dat.de.

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