Communiqué de presse05/10/2023

Pierre-Henri Raphanel : Pilote Officiel de Bugatti

Pierre-Henri Raphanel : Pilote Officiel de Bugatti

Molsheim

Après une carrière de pilote couronnée par un passage en Formule 1 et plusieurs participations aux 24 Heures du Mans, Pierre-Henri Raphanel sait parfaitement comment maîtriser la pression au volant pour dompter sa puissance brute, ses performances exceptionnelles et les vitesses élevées dont il est capable. Depuis 2005 – date à laquelle il est devenu le premier et, pour de nombreuses années, l’unique Pilote Officiel de Bugatti – il met au profit de la marque sa riche expérience et sa grande expertise en sport automobile.

Pierre-Henri Raphanel, Pilote Officiel de Bugatti.
Pierre-Henri Raphanel est devenu, en 2005, le premier Pilote Officiel de Bugatti.
En 2010, Pierre-Henri Raphanel établit un record du monde de vitesse avec la Bugatti Veyron 16.4 Super Sport.
Pierre-Henri Raphanel au volant de la Bugatti Chiron Sport « Les Légendes du Ciel » face au Dassault Rafale Marine.
Pierre-Henri Raphanel a réalisé environ 10 000 essais automobiles en tant que Pilote Officiel de Bugatti.
Pierre-Henri Raphanel aux 24 Heures du Mans en 1997.
Pierre-Henri Raphanel au Grand Prix de Formule 1 de Monaco en 1989.
Pierre-Henri Raphanel a remporté le Grand Prix de Monaco 1985 en Formule 3.
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« J’ai toujours su que j’étais destiné à une vie sur piste, derrière un volant », déclare Pierre-Henri. « Tombé dans le karting quand j’étais jeune, j’aspirais déjà très tôt à une carrière dans le sport automobile. »

Destiné à la course

La passion de Pierre-Henri pour la course est alors inébranlable. Il connait ses premiers succès à l’âge de 13 ans, alors qu’il participe à sa première compétition de karting. Grâce à sa concentration sans faille et à son talent inné, Pierre-Henri s’impose rapidement sur la scène internationale en remportant le Championnat de France et en se classant parmi les six meilleurs aux Championnats du monde, devançant ainsi souvent des concurrents plus âgés et ayant beaucoup plus d’expérience que lui.

Porté par le soutien inconditionnel de ses parents, Pierre-Henri se souvient de ses années karting comme d’une aventure familiale. Originaires du sud de la France, les Raphanel sacrifiaient volontiers leurs week-ends pour parcourir les routes de France afin de participer aux courses les plus réputées.

Après avoir dominé le karting jusqu’à ses 21 ans, Pierre-Henri était prêt à relever de nouveaux défis.

D’abord un passage par la Formule Renault, puis des saisons en Formule 3000 et en Formule 3. C’est d’ailleurs en F3 qu’il remportera, la même année, le Championnat de France et le Grand Prix de Monaco. Des succès qu’il doit à sa vitesse et qui lui ont permis d’entrer dans le cercle très fermé des coureurs de Formule 1, le sport automobile le plus prestigieux au monde. En 1989, Pierre-Henri réalise le rêve de tout pilote en participant, au volant d’une Formule 1, au Grand Prix de Monaco sur le renommé circuit de Monte-Carlo.

Après avoir atteint l’apogée en sport automobile – une participation à un Grand Prix de Formule 1 – Pierre-Henri se tourne vers un autre défi, en se lançant dans les courses d’endurance, notamment les 24 Heures du Mans et le Super GT du Japon. En 14 courses des 24 Heures du Mans – la plus grande course d’endurance au monde – il est monté trois fois sur le podium avec ses copilotes et a obtenu une victoire de classe.

Mais Pierre-Henri arrête la compétition au début des années 2000, prêt à écrire une nouvelle page de sa carrière, sans savoir qu’il sera, quelques années plus tard, emmené à utiliser ses compétences, ses connaissances et sa passion dans le cadre d’un nouveau projet qui allait révolutionner l’industrie automobile. « La fin de ma carrière en compétition est apparue comme une évolution naturelle, je n’ai ressenti ni frustration ni amertume. Alors que ce chapitre se refermait, un autre, passionnant, allait s’ouvrir, j’en étais convaincu. », ajoute-t-il.

Le chapitre Bugatti

En effet, un autre chapitre était sur le point de s’ouvrir pour lui. En 2005, après s’être retiré de la compétition quelques années auparavant, Pierre-Henri reçoit un appel inattendu qui changera à jamais le cours de sa carrière : « C’était Thomas Bscher. Je n’avais pas eu de nouvelles de lui depuis au moins sept ans. Nous nous étions rencontrés lors d’un événement réservé aux Gentlemen’s Drivers. », se souvient-il. Au moment de ce coup de fil, Thomas Bscher, alors Président de Bugatti, supervisait le développement de la pré-série d’un véhicule qui allait devenir une icône de l’automobile moderne : la Veyron.

« Il m’a invité à Molsheim pour une présentation de la Veyron à un petit groupe de privilégiés triés sur le volet. N’oubliez pas qu’à l’époque, on ne savait pas grand-chose de la renaissance de la marque Bugatti et de cette toute nouvelle supercar. Bien entendu, j’étais curieux d’en savoir plus. J’ai donc accepté avec plaisir l’invitation de Thomas et je me suis rendu en Alsace. »

Ce que Pierre-Henri découvre ce jour-là à Molsheim restera à jamais gravé dans sa mémoire et déclenchera en lui une nouvelle passion, cette fois-ci pour Bugatti.

« Lorsque j’ai vu la Veyron pour la première fois, je l’ai trouvée absolument époustouflante. Elle ne ressemblait – et c’est toujours le cas aujourd’hui – à rien. Elle ne pouvait être comparée à rien dans le monde de l’automobile. J’étais absolument fasciné par cette voiture, et plus largement par la marque. Je me souviens de ne pas avoir voulu en sortir. Je suis littéralement resté assis dedans pendant sept heures consécutives, tellement j’étais impressionné. À ce moment-là, j’ai su que je voulais faire partie de cette aventure extraordinaire. »

Le premier Pilote Officiel

Dès lors, Bugatti choisit Pierre-Henri comme seul et unique Pilote Officiel, chargé de représenter la marque et de faire découvrir ce nouveau bijou et ses prouesses aux clients du monde entier.

Christophe Piochon, Président de Bugatti Automobiles, a déclaré : « Avec le lancement de la Veyron en 2005, Bugatti s’est aventuré dans un monde de performances et de vitesses qu’aucun autre constructeur automobile n’avait exploré auparavant. Nous devions nous assurer que nous disposions d’un pilote extrêmement talentueux qui saurait non seulement mettre en avant toutes les capacités du véhicule auprès de nos clients mais qui pourrait également leur expliquer en détails les innovations techniques complexes qui ont été nécessaires et raconter, avec passion, l’histoire de la marque Bugatti. Dès sa première expérience avec la Veyron, Pierre-Henri a immédiatement compris la vision que nous souhaitions transmettre avec nos véhicules et il est depuis lors un parfait ambassadeur pour notre marque. »

C’est un rôle dont Pierre-Henri reste immensément fier aujourd’hui, près de 18 ans après sa nomination. « Chez Bugatti, chaque nouveau modèle est encore plus exceptionnel que le précédent, et croyez-moi, je n’aurais jamais pu envisager dire cela lorsque j’ai vu la Veyron pour la première fois. Pour moi à l’époque, la Veyron était au paroxysme de ce qui se faisait. Mais Bugatti place la barre toujours plus haut – cela fait partie de l’ADN de la marque – et c’est exactement ce qui a été fait après la Veyron, avec les modèles Chiron¹. Faire partie d’une aventure aussi rare et magique est quelque chose dont je ne pouvais même pas rêver. »

Malgré sa longue carrière chez Bugatti, Pierre-Henri ne cesse de s’émerveiller de la façon dont les hypersportives de la marque parviennent à concilier avec brio émotions et technicité, deux notions qui, à première vue, semblent impossibles à marier à de tels niveaux d’excellence : « La Veyron, et maintenant la Chiron, sont des pièces d’art d’une pure beauté, mais elles sont également dotées d’une grande personnalité alliant puissance et performances incomparables. J’aime appeler les Bugatti « La Belle et la Bête » pour exprimer à quel point elles incarnent l’équilibre parfait. L’équilibre entre performance et agilité, puissance et confort, sonorité extérieure profonde et acoustique intérieure feutrée. Le talent de Bugatti est de pouvoir offrir toutes ces facettes, et bien d’autres encore, dans une seule et même voiture, qu’elle roule à 20 km/h ou qu’elle soit poussée à des vitesses extrêmes. »

Et Pierre-Henri sait exactement comment révéler à la fois la beauté et la férocité de ces véhicules. Si bien qu’en juillet 2010, il a pu marquer de son nom l’histoire de Bugatti en battant un record du monde à bord d’une Veyron 16.4 Super Sport, atteignant une vitesse maximale de 431,072 km/h sur le circuit de Ehra-Lessien, en Allemagne.

« Même après ces 18 années incroyables passées aux côtés de la marque, je ne me lasse pas – et en réalité, je sais que je ne me lasserai jamais – de ce sentiment si unique que seule une Bugatti peut procurer. Bugatti est tout simplement incomparable, aucune autre marque automobile au monde, ne peut se vanter de créer des souvenirs aussi inoubliables, de faire vivre des moments aussi exceptionnels à des clients et enthousiastes aux quatre coins du monde. Et c’est ce qui me fait vibrer, j’aime partager non seulement l’incroyable expérience de conduite d’une Bugatti, mais aussi l’histoire et le savoir-faire inégalés qu’offre la marque. »

« Quel que soit l’endroit – sur un col dans les Alpes, sur une piste au Moyen-Orient, dans la vibrante Tokyo ou sur une route sillonnant les vignobles californiens, une Bugatti sera toujours au maximum de ses performances. Telle est l’éthique sans compromis qui sous-tend l’excellence de la marque depuis sa création par Ettore Bugatti. Et, à titre personnel, au plus profond de mon cœur, c’est ce qui me parle aussi : Bugatti, ce ne sont pas uniquement les hypersportives les plus élégantes et les plus puissantes au monde, c’est aussi une marque empreinte d’une histoire riche, qui renferme un héritage incroyable, célébré chaque jour par les équipes de Molsheim. »

En 2011, Pierre-Henri a été rejoint par une autre légende du sport automobile : Andy Wallace, qui est alors devenu le deuxième Pilote Officiel de Bugatti.

« J’ai réalisé plus de 10 000 essais automobiles et offert presque autant d’expériences Bugatti différentes qui ont marqué à jamais les esprits des personnes avec lesquelles je les ai partagées. Nous entamons aujourd’hui un nouveau chapitre passionnant de l’histoire de notre marque, et nous nous apprêtons à créer de nouvelles expériences pour offrir de nouveaux souvenirs, qui seront tout autant incomparables. Participer à cette aventure avec Bugatti me permet de continuer à vivre mon rêve. », conclut Pierre-Henri lorsqu’on l’interroge sur l’avenir de la marque.

Contact pour la presse

Nicole AugerHead of Marketing and Communicationsnicole.auger@bugatti.com

Consommation de carburant et émissions

  • Bolide: Non soumis à la directive 1999/94/CE, car il s'agit d'un véhicule de course non conçu pour être utilisé sur la voie publique.

    • Centodieci: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,31 / moyenne 22,15 / élevée 17,89 / particulièrement élevée 17,12 / combinée 21,47 ; Émissions de CO2 combinées, g/km : non applicable ; classe d’efficacité énergétique : G

    • Chiron: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,56 / moyenne 24,80 / élevée 21,29 / particulièrement élevée 21,57 / combinée 25,19 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 571,64 ; classe d’efficacité énergétique : G

    • Chiron Profilée: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,56 / moyenne 24,80 / élevée 21,29 / particulièrement élevée 21,57 / combinée 25,19 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 571,64 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Chiron Pur Sport: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,56 / moyenne 24,80 / élevée 21,29 / particulièrement élevée 21,57 / combinée 25,19 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 571,64 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Chiron Sport: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,56 / moyenne 24,80 / élevée 21,29 / particulièrement élevée 21,57 / combinée 25,19 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 571,64 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Chiron Super Sport: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,31 / moyenne 22,15 / élevée 17,89 / particulièrement élevée 17,12 / combinée 21,47 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 486,72 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Chiron Super Sport 300+: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,31 / moyenne 22,15 / élevée 17,89 / particulièrement élevée 17,12 / combinée 21,47 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 486,72 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Divo: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 43,33 / moyenne 22,15 / élevée 17,99 / particulièrement élevée 18,28 / combinée 22,32 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 505,61 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • La Voiture Noire: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 43,33 / moyenne 22,15 / élevée 17,99 / particulièrement élevée 18,28 / combinée 22,32 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 505,61 ; classe d’efficacité énergétique : G

        • Tourbillon: Ce modèle n'est actuellement pas soumis à la directive 1999/94/CE. La voiture n’a pas encore été réceptionnée à ce jour.

        • W16 Mistral: Les informations sur la consommation de carburant sont soumises aux dispositions de la Directive 1999/94/CE. La voiture n’a pas encore été réceptionnée à ce jour.

          Bugatti

          Les valeurs de consommation de carburant et d’émissions de CO2 présentes sur ce site internet sont déterminés suivant la méthode de mesure légale obligatoire.

          De plus amples informations sur les chiffres officiels de la consommation de carburant et les émissions spécifiques de CO2 officielles des voitures de tourisme neuves figurent dans le « Guide sur l'économie de carburant, les émissions de CO2 et la consommation d'énergie des nouveaux modèles de voiture de tourisme » qui est disponible gratuitement chez tous les distributeurs et auprès de DAT Deutsche Automobil Treuhand GmbH, Hellmuth-Hirth-Str. 1, D-73760 Ostfildern, Allemagne et sur www.dat.de.

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