Communiqué de presse03/07/2023

Les 100 ans de la Bugatti Type 32 « Tank » – anniversaire d’une pionnière du sport automobile

Les 100 ans de la Bugatti Type 32 « Tank » – anniversaire d’une pionnière du sport automobile

Molsheim

Bugatti est un nom reconnu mondialement pour son ingénierie visionnaire et ses conceptions novatrices et aujourd’hui, la marque célèbre le centenaire des débuts officiels en course de l’un de ses véhicules les plus révolutionnaires : la Type 32 « Tank ». Cette voiture de course a posé les fondements en termes d’innovation dans le sport automobile. Son surnom provient non seulement de sa forme distinctive, mais également de ses rivets et boulons apparents.

Les 100 ans de la Bugatti Type 32 « Tank »  – anniversaire d’une pionnière du sport automobile.
La marque Bugatti est connue pour son ingénierie visionnaire et ses conceptions novatrices, et la Type 32 est l'une de ses voitures les plus innovantes.
Cette voiture de course aérodynamique devait jeter les bases en termes d’innovation dans le sport automobile, Ettore Bugatti ayant été très tôt convaincu de l'importance de l'aérodynamique.
La Type 32 « Tank » doit son surnom non seulement à sa forme, mais aussi à ses rivets et boulons visibles.
Le 2 juillet 1923, 300 000 spectateurs se sont rassemblés dans la ville de Tours, dans la vallée de la Loire, pour assister au Grand Prix de France, où  la Type 32 a été le véhicule qui a suscité le plus d'attention en raison de son design.
La carrosserie en forme d'aile, inspirée de celle des avions, attire immédiatement  l’œil sur la Type 32 aux lignes épurées.
Au total, quatre Type 32 participent à la course du GP de France, qui couvre une distance totale de près de 800 kilomètres. Ernest Friderich a été le plus performant d'entre eux, terminant à la troisième place.
La Type 32 « Tank » reste aujourd'hui une création Bugatti emblématique et innovante pour de nombreux fans de sport automobile, et elle a également eu une forte influence sur les modèles ultérieurs tels que la Type 57 G, avec  laquelle Bugatti a remporté les 24 heures du Mans en 1937.
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Son heure de gloire fût le Grand Prix de France qui s’est déroulé à Tours, au cœur de la Vallée de la Loire, le 2 juillet 1923. Ce jour-là, une foule de 300 000 spectateurs se presse pour assister à cet événement promettant des émotions fortes grâce à sa sélection de voitures de course à la pointe de la technologie. Mais le véhicule suscitant le plus l’intérêt est l’audacieuse Type 32 qui reflète alors à merveille le génie d’Ettore Bugatti et son désir constant de défier les conventions.

La Type 32 attire immédiatement l’œil grâce à sa carrosserie en forme d’aile, inspirée de celle des avions. La raison de cette forme hors du commun : Ettore Bugatti était convaincu à l’époque que l’aérodynamique de pointe jouerait un rôle crucial dans l’amélioration des performances des voitures de course. Bien qu’elle soit fortement inspirée de la Type 30, de par son moteur huit cylindres de 2 litres produisant environ 90 PS, sa configuration unique, son empattement court et sa voie étroite la distinguent des autres véhicules qui attendent ce jour-là sur la ligne de départ. Elle suscite tout de suite un vif émoi parmi les passionnés.

Elle a bénéficié de nombreuses solutions d’ingénierie, ainsi que des techniques et une conception innovantes. Dotée d’un châssis suspendu et de freins hydrauliques à l’avant, sa boîte de vitesses à trois rapports avec marche arrière ajoute encore au sentiment d’aventure qui s’en dégage. Il n’est pas surprenant qu’un véhicule aussi peu conventionnel, à l’apparence dramatique, ait attiré tous les regards lors de la course. Alors que les autres voitures de course suivaient des méthodes de conception largement éprouvées en 1923 et des normes esthétiques immédiatement reconnaissables, très caractéristiques de l’époque, la Type 32 se distinguait.

Au total, cinq exemplaires de la Type 32 ont été fabriqués, un prototype et les quatre véhicules ayant participé au Grand Prix. Cette épreuve, éreintante, consistait à réaliser 35 tours d’un circuit de 22,83 km en empruntant des routes publiques, sur une distance totale de près de 800 km. Parmi ces quatre voitures, la plus réussie et celle qui s’est démarquée le plus était conduite par le français Ernest Friderich, qui, avec un temps de sept heures et 22,4 secondes et une vitesse moyenne légèrement supérieure à 112 km/h, a terminé à la troisième place. Un résultat honorable pour la Type 32, mais ce Grand Prix de Tours marquera finalement sa seule et unique apparition, car Bugatti se concentrera ensuite sur le développement de la légendaire Type 35. Cette voiture de course emblématique intégrera de nombreuses idées très novatrices, notamment l’introduction de jantes en alliage, et connaîtra un succès phénoménal, remportant le championnat du monde de Grand Prix en 1926.

Malgré sa courte carrière en Grand Prix, la Type 32 s’est révélée être un bel apprentissage pour Bugatti, qui a su en tirer des leçons pour construire des véhicules encore plus aboutis. La conviction d’Ettore Bugatti que l’optimisation aérodynamique du véhicule pouvait jouer un rôle central et décisif sur ses performances a été confirmée une nouvelle fois avec une autre voiture de course, également surnommée « Tank » en raison de sa carrosserie aérodynamique et à la silhouette ramassée, la Type 57 G. Ce véhicule a dominé les courses d’endurance pendant ses heures de gloire dans les années 1930, remportant une victoire au Grand Prix de France en 1936 et une aux 24 Heures du Mans en 1937, et prouvant ainsi que la vision d’Ettore Bugatti, mise en œuvre pour la première fois avec la Type 32 Tank en 1923, s’était avérée juste.

Aujourd’hui encore, de nombreux passionnés de sport automobile reconnaissent instantanément la Type 32, création emblématique et innovante de la marque Bugatti. Ce chef-d’œuvre est aujourd’hui exposé au Musée National de l’Automobile à Mulhouse, en Alsace et il est également possible de voir le véhicule rouler lors de certaines courses historiques.

Contact pour la presse

Nicole AugerHead of Marketing and Communicationsnicole.auger@bugatti.com

Consommation de carburant et émissions

  • Bolide: Non soumis à la directive 1999/94/CE, car il s'agit d'un véhicule de course non conçu pour être utilisé sur la voie publique.

    • Centodieci: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,31 / moyenne 22,15 / élevée 17,89 / particulièrement élevée 17,12 / combinée 21,47 ; Émissions de CO2 combinées, g/km : non applicable ; classe d’efficacité énergétique : G

    • Chiron: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,56 / moyenne 24,80 / élevée 21,29 / particulièrement élevée 21,57 / combinée 25,19 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 571,64 ; classe d’efficacité énergétique : G

    • Chiron Profilée: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,56 / moyenne 24,80 / élevée 21,29 / particulièrement élevée 21,57 / combinée 25,19 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 571,64 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Chiron Pur Sport: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,56 / moyenne 24,80 / élevée 21,29 / particulièrement élevée 21,57 / combinée 25,19 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 571,64 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Chiron Sport: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 44,56 / moyenne 24,80 / élevée 21,29 / particulièrement élevée 21,57 / combinée 25,19 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 571,64 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Chiron Super Sport: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,31 / moyenne 22,15 / élevée 17,89 / particulièrement élevée 17,12 / combinée 21,47 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 486,72 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Chiron Super Sport 300+: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 40,31 / moyenne 22,15 / élevée 17,89 / particulièrement élevée 17,12 / combinée 21,47 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 486,72 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • Divo: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 43,33 / moyenne 22,15 / élevée 17,99 / particulièrement élevée 18,28 / combinée 22,32 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 505,61 ; classe d’efficacité énergétique : G

      • La Voiture Noire: WLTP consommation de carburant en l/100 km : basse 43,33 / moyenne 22,15 / élevée 17,99 / particulièrement élevée 18,28 / combinée 22,32 ; émissions de CO2 combinées, g/km : 505,61 ; classe d’efficacité énergétique : G

        • Tourbillon: Ce modèle n'est actuellement pas soumis à la directive 1999/94/CE, l'homologation n'ayant pas encore été accordée.

        • W16 Mistral: Les informations sur la consommation de carburant sont soumises aux dispositions de la Directive 1999/94/CE. La voiture n’a pas encore été réceptionnée à ce jour.

          Bugatti

          Les valeurs de consommation de carburant et d’émissions de CO2 présentes sur ce site internet sont déterminés suivant la méthode de mesure légale obligatoire.

          De plus amples informations sur les chiffres officiels de la consommation de carburant et les émissions spécifiques de CO2 officielles des voitures de tourisme neuves figurent dans le « Guide sur l'économie de carburant, les émissions de CO2 et la consommation d'énergie des nouveaux modèles de voiture de tourisme » qui est disponible gratuitement chez tous les distributeurs et auprès de DAT Deutsche Automobil Treuhand GmbH, Hellmuth-Hirth-Str. 1, D-73760 Ostfildern, Allemagne et sur www.dat.de.

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